Pas de quoi se prendre encore la tête. Baky, malgré qu’il soit retourné à Nice, garde bon espoir quant à son transfert final à l’Olympique de Marseille.
Espoir et discrétion. Tels sont les maître-mots de Baky qui a retrouvé lundi, le groupe de Frédéric Antonetti après que le président niçois, Maurice Cohen ait lancé un ultimatum à Marseille dont il ne semble "pas avoir de nouvelles".
"Je préfère ne pas m'exprimer sur cette affaire. Je sais que ça va se régler, mais je ne peux pas vous dire quand", a déclaré l’attaquant des Eléphants de Côte d’Ivoire à La Provence.
Les discussions actuellement au point mort pourrait évoluer ce mardi, les dirigeants azuréens ayant laissé sous-entendre un ultimatum pour le 15 juillet à leurs homologues marseillais, ce que confirme Frédéric Antonetti, l'entraîneur des Aiglons, qui n'écarte pourtant pas la possibilité de garder dans ses rangs l’international ivoirien. "Si on parle du 15 juillet, c'est que nous avons besoin, nous aussi, d'exister un tout petit peu". Et si cela venait à arriver le manager du Gym n’a "aucun souci sur son implication" malgré que le concerné a affiché déjà son intention de ne plus porter cette saison le maillot Aiglon.
L’atmosphère lourde ne fait pourtant pas perdre le sourire. Interrogé sur son moral Baky a affirmé que "du matin au soir, il est bon!".
Patrick GUITEY