L’Afrique continue de ne point grandir. Et l’ASEC est encore la victime des matches à l’extérieur. En Tunisie pour y affronter le Al Ahly de Tripoli délocalisé, les jaune et noir n’ont pas pu avoir accès au stade devant accueillir le 8è de finale retour. Selon le secrétaire général des Mimosas, la faute incombe aux dirigeants libyens. « Nous sommes obligés de nous entrainer dans le jardin de l'hôtel à Tunis. La cause est que les dirigeants libyens nous refusent nos 3 séances d'entrainement », a indiqué  Francis Djoman sur sa page facebook, où l’on peut voir les images de l’entraînement improvisé par le staff technique ivoirien.

Selon le calendrier officiel, l’ASEC croise le fer avec le Al Ahly de Tripoli, le mercredi 20 avril prochain. Au match aller, les Mimosas s’étaient imposés à Abidjan sur le score de 2-0. Par ailleurs, ce non-respect des droits de son adversaire devrait interpeller les autorités de la Caf qui, trop souvent, ferment les yeux sur de tels abus.

Patrick GUITEY