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Football-CAN 2017 : La CAN qui blesse

Football
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Football-CAN 2017 : La CAN qui blesse

26 January 2017 0
La CAN qui blesse

Le premier tour de la CAN 2017 est achevé. Le tableau des quarts est connu. Et les sélectionnées éliminées ont, pour la plupart, déjà pris congé du Gabon. Plusieurs sont celles qui comptent leurs blessés. Et nombreux sont-ils.

 

Johann Obiang, Mario Lemina, Abdoulaye Tandjigora (Gabon), Jonathan Zongo, Jonathan Pitroïpa (Burkina Faso), Aymen Mathlouti (Tunisie), Asamoah Gyan, Baba Rhaman (Ghana), Raïs Mbolih, Hilal Soudani (Algérie). La liste des blessés est certainement loin d’être exhaustive.

 

Un fait marquant de cette CAN qui pousse à la réflexion sur les raisons de cette hécatombe. Si le niveau physique des athlètes n’est pas à ignorer, les conditions de la compétition au Gabon est loin d’être étrangère. « Les pelouses de la CAN ne sont pas en bon état. C’est ce qui explique les nombreuses blessures. En tout cas pour ce qui est de Pit (Jonathan Pitroïpa) et de Zongo (Jonathan), les blessure sont le fait de la pelouse », a confié Aristide Bancé.

 

D’Oyem à Libreville en passant par Port-Gentil et Franceville, aucune des pelouses des stades validés par la CAF ne semblait aux normes internationales, pour assurer la sécurité des acteurs et permettre de produire du spectacle. Si l’on peut plaindre le laxisme des inspecteurs de la Confédération africaine, la responsabilité est toutefois partagée avec le pays organisateur dont les infrastructures ne sont pas à la hauteur de l’événement.

 

Les images du match Ouganda-Mali sur une pelouse détrempée font encore le tour des organes, sans aucune fierté d’une Afrique qui reste encore une fois en dedans. Au grand dam des athlètes qui devront affronter l’outil de travail, avant l’adversaire en face. Quant aux nombreux blessés qui regagneront leur club,  leur état ne contribuera pas à donner plus de côte à une CAN déjà au bas des sondages, auprès de l’Europe pourvoyeuse de plus de 70% des joueurs de la compétition.

                                                 

 

 

Iris de Bankolé

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