« Quand j’ai  appris à Paris que Sidy Diallo  se présentait pour cette élection importante et historique pour notre football, j’ai pas hésité à venir pour lui porter le message de reconnaissance pour tout ce qu’il a fait pour le football ivoirien. Il s’est dévoué et continu de se dévouer pour le football ivoirien », a d’entré affirmé l’ex-Eléphant de Côte d’Ivoire.
Face à l’enjeu de l’élection à la présidence de la FIF, l’ancien attaquant du PSG a repris « son candidat ». « Le football local est vraiment au bord du gouffre, comme l’a dit Sidy.  De ce fait, « Cette élection est très importante pour tous les acteurs que nous sommes et vous les journalistes également »,  a ajouté "Bona" avant d’officialiser son choix.
« Je viens officiellement pour apporter notre soutien, Abdoulaye Traoré dit Ben Badi, Oumar Ben Salah et bien d’autre anciens footballeurs au candidat Sidy. C’est dommage que ce soit les présidents de clubs qui votent, alors que c’est nous les vrais acteurs qui devrions voter. En tout cas, si ça ne tenait qu’à nous Sidy serait déjà élu », a fait savoir l’ainé de Salomon Kalou.
L’ex-international ivoirien a donné une consigne de vote aux électeurs pour terminer sa déclaration. « Nous disons donc aux présidents de ne pas se tromper en votant. Il y va de la survie du football local. L’équipe nationale peut se passer du football local et survivre pendant une vingtaine d’année encore, parce qu’il y a un vivier en Europe et dans les autres championnats professionnels, mais le football local peu mourir. On espère de tout cœur que les présidents de club ne se tromperont pas », a souhaité Bonaventure Kalou, qui, il faut le rappeler, ne fait parti d’aucun groupement d’intérêt général.
Alexis KOUAHIO