Selon M. N’GUESSAN, au contraire de Libreville, les populations de Malabo semblent pour la plupart ignorer la CAN. Là bas, les ivoiriens devront être disciplinés au risque d’avoir des surprises désagréables. Il nous dira par exemple que les autorités de la Guinée Equatoriale sont si strictes qu’une délégation de la Côte d’Ivoire composée de journalistes a été arrêtée pour non paiement de frais d’hôtels. Ce, du fait d’un représentant d’ « African village » qui aurait pris la responsabilité de les héberger sans avoir régler la note…
 
Les ivoiriens changent d'hôtel
 
Par ailleurs, l’hôtel attribué à l’équipe nationale de Côte d’Ivoire jouxtait quasiment le stade de la compétition raison pour laquelle la FIF a décidé de changer d’hôtel…Et notre interlocuteur de nous indiquer que Malabo partage beaucoup de similitude avec Cabinda, la ville hôte des ivoiriens en Angola. Attention donc aux supporters imprudents et trop excessifs.
 
Ainsi,   Louis Claude Moundzieoud, le président de la Commission Marketing et Comminication du Cocan, nous fera savoir  « qu’aucun ivoirien ne pourra avoir accès ni à Malabo ni à Libreville sans le visa Can  de 45 jours valable pour les deux pays » Pour les journalistes,  les conditions seront encore plus strictes car aucune accréditation ne se fera sur place. Seule, la CAF valide les accréditations sollicitées depuis le 1er décembre, au plus tard…A suivre.
 
Sautigui Pegnouwara, à Libreville