Michel Acariès comme annoncé a de grands projets pour la boxe ivoirienne. Pour sa première conférence de presse en Côte d'Ivoire, le promoteur françaisde boxe a assuré sortir des champions d'Abidjan comme ça été le cas en à partir de 1974 à Kinshasa.
Première visite en Côte d'Ivoire, mais loin d'être dépaysé, Michel Acariès était très à l'aise face aux mutliples intérrogations de la presse sportive ivoirienne. "Je suis ravi dêtre sur vos terres et je crois que moi ici, c'est pas un grand dépaysement", a t-il affirmé. Car Michel Acariès n'est pas à sa première expérience africaine, lui qui est né en Algérie et qui y a fait ses premiers pas avant de partir pour la france.
Passés les moments d'émotions, Michel Acariès est très vite entré dans le vif du sujet, le motif de sa présence en Eburnie. Et celui de donner un grand coup de fouet à la boxe ivoirienne avancé n'est pas un leurre. Au contraire, le promoteur français des grands show pugilistique est conscient de l'énorme potentiel des boxeurs encadrés par Arsène Yoboué, le président de la Fédération Ivoirienne de Boxe (FIB). "Je sais qu'il y a un réservoir de champions à la boxe ivoirienne". Des combattants encore à l'état de pépite qu'il faut "faire entrer dans le moule de champion avec des moyens".
Et ce processus, Michel Acariès en a une petite idée qu'il veut partager avec la Côte d'Ivoire. Une idée qui pourrait ouvrir des voies aux boxeurs ivoiriens à l'échelle internationale avec des combats hors des frontières ivoirienne. "Nous pouvons faire boxer des ivoiriens en France" pour créer plus d'angouement autour du noble art ivoirien.
Le début de ces promesses débutent dabord en Côte d'Ivoire avec l'organisation le 11 octobre prochain d'un double championnat d'Afrique et d'un triple championnat de Côte d'Ivoire à l'initiative de la SAEEL de M. Patrick Atlan. Une nuit de boxe qui bénéficiera de l'expertise de Michel Acariès qui travaillera avec la FIB pour le renouveau du noble art en Côte d'Ivoire.
 
Patrick GUITEY