La Fédération Ivoirienne de Volleyball sera en Assemblée Générale Elective le 30 janvier prochain. 4 jours avant le scrutin, Francis Coulibaly, candidat à la succession de Koné Sanga a présenté son projet quadriennal à la communauté de la discipline.

La redynamisation de l'administration fédérale, la mise en place d’une politique efficiente de formation, la vulgarisation du volley, la favorisation de la pratique du volley en milieu scolaire, l’acquisition de patrimoine et la recherche de financements. Ce sont les 6 points du programme du candidat qui a exposé le 26 janvier 2021 dernier.

Face aux responsables et représentants des clubs, Francis Coulibaly s’est voulu clair quant à la priorité de son premier mandat, en cas d’élection. Car si « les six points du programme que nous élaboré sont importants », la priorité ira à « la recherche de financements ». L’ancien champion de Judo et ex-pratiquant de Tennis espère apporter son expérience de manager avéré et son carnet d’adresses en vue de permettre au Volley national d’aller plus haut.

« Chef d'entreprise depuis une quinzaine d'année, j'ai une solide expérience en matière de gestion des hommes et des structures privées et publiques. Passionné de sport depuis la tendre enfance et ayant pratiqué plusieurs disciplines au plus haut niveau, je me propose de mettre mon expérience managériale, ma passion pour le sport, mon esprit fair-play, ma capacité à créer un esprit de famille autour de moi, mon carnet d'adresse, au service de notre passion commune : le volley-ball », a déclaré Francis Coulibaly.

« Je ne viens pas pour écraser, plutôt rassembler »

Le président du CO Descartes a d’ailleurs étalé quelques potentiels partenaires du volley national et des solutions prêts à l’emploi pour les athlètes et encadreurs. En effet, la promesse d’une police d’assurance et d’une assurance décès a été faite par le staff du candidat qui veut compter sur l’ensemble de la famille du volley national pour faire revivre la discipline. Ainsi, il s’est voulu rassurant au sujet de son ambition. Car contrairement aux idées préconçues,  « je ne viens pas pour écraser, plutôt rassembler », a indiqué Francis Coulibaly certainement prêt à tendre à la main à son adversaire Pascal Wadja, également engagé pour la présidence de la FIVVB.

Patrick GUITEY