Le onze de Vahid a convaincu. Le 12e homme lui n’a pas survécu à ce bonheur. Le stade Félix Houphouët-Boigny, fut le théâtre de deux spectacles. L’un exaltant le beau, l’autre l’horreur. Inoubliable déferlante de buts. Soirée funeste à vite oublier pour le peuple ivoirien.

Certains se plaignent. De sa trop grande emprise sur le groupe. De mettre tout le monde dans son ombre. Dimanche, dans son jardin, il a démontré pourquoi c’est lui qui porte le brassard et pourquoi on l’appel le chef Drogba.

Des problèmes, la sélection de Côte d’Ivoire en éprouvaient pour entamer ses rencontres. Un mal qui a disparu cet après-midi à l’épreuve du Malawi. Une large victoire qui ravit Coach Vahid et ses joueurs qui sont à présent tournés vers lse prochains rendez-vous.

Environ vingt morts et plus de cent de blessés. Voici le triste bilan du comité d’organisation de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF), qui a vendu plus de tickets que de places disponibles au Stade Félix Houphouët-Boigny. Ce drame qui a occasionné les décès est venu entacher l’éclatante victoire (5-0) des Eléphants de Côte d’Ivoire, face aux Flames

Dans un stade Houphouët-Boigny chauffé à blanc, la Côte d’Ivoire a fait le métier devant le Malawi pour son entrée en lice dans le troisième tour éliminatoire de la CAN et du Mondial 2010. Étincelants, les Eléphants ont étrillé les Flames malawites (5-0).

Que de la joie. En tout cas pour les coéquipiers de Didier Drogba. Pour leur début dans la poule E, Les Eléphants ont terrassé des Flames Malawites qui ne tarissaient pourtant pas en propos guerriers. Sur la pelouse du «Félicia», c’est bien les Ivoiriens qui avaient les armes en main.