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Football- Amical- Mexique-CI (4-1) : Sabri, Eléphants, FIF, tous coupables

Football

Football- Amical- Mexique-CI (4-1) : Sabri, Eléphants, FIF, tous coupables

15 August 2013 0
Sabri, Eléphants, FIF, tous coupables

Il était plein d’optimisme et surtout d’ambition. Son discours d’avant match transpirait l’envie d’aligner la plus compétitive sélection ivoirienne devant le favori mexicain. Il avait même promis que, au New Jersey, ce serait « tout sauf un match amical parce que nous ne comptons pas y aller pour faire du tourisme ». Et pourtant, en première période, ses choix ressemblaient fort à une colonie de vacance. Erreurs de débutants, naïveté tactique et nonchalance physique qui a fait à une agressivité gratuite. La Côte d’Ivoire ne pesait pas son 18è rang mondial, face au 20è qui valait mieux.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />
 
Et pourtant, les cadors plutôt affûtés à l’image de ce qu’apporté leur entrée, avaient été conservés sur le banc, toute la première période. Pourquoi avoir choisi de seconds couteaux alors qu’il y en avait de plus tranchants à portée de main ? Le sélectionneur franco-tunisien a les clés de cette énigme. Dans tous les cas, le technicien tunisien s’est encore montré incapable de faire des choix judicieux. Mais avait-il toute la latitude qu’il s’était offert à l’annonce de son 23 ?

 
 
Forfaits éternel, explication étrange
 
 
Sans décharger Sabri de ses responsabilités, la réponse reste négative. Lamouchi n’a pas bénéficié de tout son monde. Si Yaya Touré et Serey Dié pouvaient accuser une blessure pour justifier leur absence, celle de Bobley Anderson, de Tioté Cheick et surtout de Romaric N’Dri intrigue. Selon la FIF, ils n’ont pas « pu obtenir à temps le visa d’entrée aux USA ». Etrange raison remise plus d’une fois sur la table pour justifier une carence de l’administration de la maison de verre. Des limites qui ont forcément handicapé des Eléphants à ne point dédouaner.
 
chuuut le banc n'a point de poids !
 
Abonnés du banc en présence des “cadres“, les remplaçants ont perdu de nombreux points. Incapables d’imprimer du rythme, les “banqueteurs“ jetés dans le bain d’un test grandeur nature, se sont montrés gauches et veules en face d’une sélection mexicaine alerte et précise. Perte incommensurable de balle et manque de lucidité, le onze entrant ivoirien n’a pas « été à la hauteur de l’affiche » que leur a offert un coach qui y avait placé sa confiance. Le temps d’une phrase qui indique certainement qu’ils retrouveront illico leur “vrai“ place… ou qu’ils ne la retrouveront pas tout simplement dès le prochain regroupement. En tout cas, Lamouchi a indiqué avoir sa « petite idée » sur la sentence suite à cette humiliation, la première débâcle de sa jeune carrière d’entraîneur.
 
 
par Patrick GUITEY
 
 

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