Quel bilan faites-vous de votre carrière trois ans après votre départ en France ?

Après trois ans en France je peux dire que le bilan est plus que positif. Déjà j’ai voulu venir en France pour découvrir le basket européen. Donc là suis super contente d’être ici et comme je le dis le bilan il ne peut qu’être positif.

Sur un plan personnel a quel niveau avez-vous progressez ?

J’ai progressé au niveau technique, au niveau de l’adresse, de mes shoots. Quand j’arrivais, j’avais déjà la condition physique, parce que c’est l’essence du basket africain où j’ai fait l’essentiel de ma carrière. Je pense avoir progressé au niveau technique et aussi  au niveau de mes shoots.

Quels sont les challenges que vous attendez de relever ?

Mes challenges il en a énormément. Là suis arrivée suis en NF1 (Nationale Féminine 1) donc pour tout joueur l’ambition est de gravir les échelons. J’aimerais aller jouer en ligue professionnelle et découvrir d’autres réalités du haut niveau. Le plus important pour moi c’est d’avancer et surtout prendre du plaisir dans tout ce que je fais. Mon véritable challenge c’est de jouer le haut niveau c'est-à-dire la ligue professionnelle.

La France est elle la destination finale?

Je ne pense pas.  Mais il faut d’abord que je prouve au niveau du basket français et quand j’aurais accompli cette mission j’aimerais voir d’autre pays pourquoi pas, tout est possible. Mais l’essentiel est que je ne suis pas fermée à toutes propositions et je me dis toujours qu’il faut tenter et aller essayer pour voir.

Propos recueillis par Armel YAO