Car autour de Salif Bictogo et selon les chiffres dévoilés par le président du Stade d’Abidjan, c’est au moins 47 clubs sur 76 au total qui le soutiennent. Il faudra se mettre au travail pour ramener d’autres voix à la maison. «C’est une grande tâche. Rien ne sera facile» dans cette course à la succession de Jacques Anouma.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

 
De l’espoir et de la confiance, Bictogo en a. Et vu «le nombre et la compétence de tous ceux qui m’accompagnent», il n’a pas tort.  Mais il est également certain que «nous ne pouvons pas faire l’unanimité». Inéluctable constat puisqu’en face se préparent les listes chapeautées par Anzouan Kacou qui pourrait s’effacer pour M. Ezalé et par Sidi Diallo.
 
Pas “d’étranger“ dans le foot ivoire
 
Ce dernier dont la candidature est annoncée depuis des lustres mais dont on ne voit pas la silhouette est dors et déjà vomis par la Conférence des Présidents. En allusion à l’ex-responsable des équipes nationales, Salif Bictogo a déclaré que «si une liste extérieure à celle soutenue par les présidents de clubs doit venir battre celle qui est là, je crois qu’il faut désespérer du football ivoirien». Le message est donc clair.
Par Patrick GUITEY