On le dit, il n’est jamais facile d’affronter le pays organisateur. Cette thèse, la Côte d’Ivoire s’en rend compte un peu plus depuis que la Guinée Equatoriale a validé son ticket pour les quarts de finale. Les choses se sont même corsées pour la délégation ivoirienne ces dernières heures, depuis que le deuxième pays organisateur de cette CAN n’a pu battre la Zambie. Deuxième de sa poule, la Guinée Equatoriale est partie pour affronter les Eléphants en quarts de finale. Une issue que les dirigeants équato-guinéens n’avaient pas du tout prévu quand ils avaient battu le Sénégal. Craignant les Eléphants comme du lait sur le feu, ils ont opté pour la tactique de l’intimidation, de la pression et du vice.
Pour mettre en route leur plan, le Nzalang National a élu domicile à l’hôtel Sipopo de Malabo où logent les Eléphants depuis leur arrivée. La délégation ivoirienne occupe le deuxième étage. La Guinée Equatoriale, s’est, elle, installée au cinquième niveau. Et l’endroit est devenu un véritable moulin. La quiétude qui y régnait n’est plus qu’un vieux souvenir. Pire, la Guinée Equatoriale a déversé à l’hôtel une ribambelle de jeunes filles très sexy. Celles-ci auraient reçu pour consigne de tout faire pour appâter les joueurs ivoiriens. Au fait, c’est un véritable coup qui ne dit pas son nom. Le joueur qui s’hasarderait à solliciter « les services » d’une de ses belles, sera accusé de viol. Imaginez alors le scandale que cela provoquerait. Les filles chargées de la sale besogne ont jusqu’au samedi matin pour parvenir à leurs fins. Alors, Eléphants, vous êtes prévenus !
Par Abdoul KAPO