La qualification de la Côte d’Ivoire avant le terme des éliminatoires des la CAN 2012 a mis le Burundi et le Bénin en compétition dans le Groupe H, pour une hypothétique meilleur deuxième place à l’issue des qualificatifs.

La qualification de la Côte d’Ivoire à la CAN 2012, avant le terme des éliminatoires a donné du baume au cœur de tous les ivoiriens et en particulier du premier responsable du football ivoirien qui a laissé éclater sa joie après la victoire (6-2) des Eléphants contre le Bénin dimanche à Cotonou.

La quatrième journée des éliminatoires de la CAN 2012 disupéte le week-end passé sur le continent est venue confirmer une évidence qui se dessine : incapables de remporter leur confrontation respective, Camerounais et Egyptiens pourraient ne pas être au Gabon et en Guinée Equatoriale dans six mois.

Si les Pachydermes ivoiriens ont passé un savon mémorable dimanche aux Ecureuils béninois à Cotonou et validé leur qualification pour la prochaine CAN, ils le doivent notamment à Kafoumba Coulibaly, majestueux au milieu de terrain avec Jean-Jacques Gosso.

La Côte d’Ivoire s’est jouée de tout le Bénin dimanche au stade de l’Amitié de Cotonou. 6 buts ont fini de noyer le doublé de Sésségnon qui avait redonné espoir aux Béninois. Côté Eléphants, tous ont participé à cette victoire. Mais chacun à sa manière. Voici les notes des élèves de François Zahoui.

Sans complexe, la Côte d’Ivoire est aller défaire les Ecureuils du Bénin à Cotonou (6-2) et se qualifie pour la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2012), avant même le terme des éliminatoires de Gabon-Guinée Equatoriale.

Les Eléphants de Côte d’Ivoire sont à Cotonou où ils affrontent le dimanche 5 la sélection des Ecureuils du Bénin pour le compte de quatrième journée des éliminatoires de la CAN 2012, dans le groupe H. Pour François Zahoui, la clé de la rencontre demeure la combativité.