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Ligue des champions: Arsenal, le gâchis

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Ligue des champions: Arsenal, le gâchis

8 March 2007 0
Ligue des champions: Arsenal, le gâchis

Arsenal pourra nourrir de gros regrets. Les Gunners ont en effet copieusement dominé les débats, mercredi à l'Emirates Stadium, face au PSV Eindhoven mais le match nul récolté ce mercredi en huitième de finale de la Ligue des Champions les élimine de la scène européenne (1-1). Les hommes d'Arsène Wenger, battus au match aller 0-1, pourront véritablement regretter un manque de réalisme flagrant. Tant mieux pour les Néerlandais qui ont parfaitement joué le coup.
Toute la déception de Thierry Henry qui voit la qualification s'échapper.Toute la déception de Thierry Henry qui voit la qualification s'échapper.Les Gunners ne méritent décidément pas ce surnom de canonnier. Privé de Thierry Henry, jugé trop juste pour débuter la rencontre, Arsène Wenger avait opté pour un duo Adebayor-Baptista en pointe pour venir à bout du PSV. Après un match nul fort décevant perdu à Eindhoven malgré plusieurs opportunités franches (0-1), les Londoniens avaient beaucoup à se faire pardonner dans leur antre de l'Emirates Stadium pour un huitième de finale particulièrement attendu.
Dominateurs, les Gunners vont rapidement faire valoir leur jeu fluide et porté vers l'attaque. Suite à un superbe service de Fabregas, Adebayor manque son contrôle (16e), ce n'est que partie remise avec une frappe tendue de Touré difficilement repoussée par Gomes (23e). C'est ensuite au tour de Julio Baptista de tenter une reprise de volée qui passe juste au-dessus du but de Gomes (26e), puis un retourné acrobatique également hors cadre (36e)! Une maîtrise intéressante mais inutile qui remet sur le tapis ce manque d'efficacité chronique des Gunners qui ne tentent pas toujours à bon escient et qui, à d'autres moments, donnent l'impression de vouloir jouer à la passe à dix jusque dans le but adverse...
Quinze jours terribles
Mais l'abnégation a tout de même du bon et à force de pousser les hommes de Wenger vont trouver la faille grâce à... un but contre son camp d'Alex pourtant énorme jusque-là (1-0, 58e)! Galvanisés par ce but, les Anglais vont se procurer deux opportunités énormes avec une reprise de volée d'Adebayor puissante mais placée sur Gomes alors qu'il y avait sans doute beaucoup mieux à faire (66e), puis dans les secondes qui suivent avec un slalom de Hleb à l'entrée de la surface suivi d'un décalage parfait pour Fabregas qui ne cadre pas sa frappe du plat du pied.
Malgré cet avantage et ces occasions à la pelle, Arsène Wenger décide de lancer Thierry Henry dans la bataille. L'international français se distingue grâce à deux coups francs. Sur le premier, le ballon revient sur Gallas qui frappe dans un angle fermé (76e), sur le deuxième, Gomes se détend parfaitement pour dégager son camp (78e). Encore un coup pour rien... A force de gâcher, on s'expose à d'inévitables contres. Et c'est sur un coup de pied arrêté que le PSV va trouver l'ouverture. Le coup franc est frappé par Mendez pour Alex qui se rattrape parfaitement en égalisant de la tête (1-1, 82e).
Arsenal n'a plus que ses yeux pour pleurer... Après la défaite en finale de la Carling Cup puis l'élimination en Cup, c'est la Ligue des Champions qui s'échappe alors que la victoire était à leur portée. «Nous n'avons plus d'objectif précis au niveau des trophées. C'est très frustrant car en quinze jours nus avons tout perdu», concède Arsène Wenger au micro de Canal +. La fin de saison aurait pu être belle. Elle sera tendue. Car le finaliste de la dernière Ligue des Champions n'a plus qu'une bataille sur le feu: conserver sa place dans le quatuor de tête afin de revenir la saison prochaine...
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