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Bandama 2018 : « Le côté ingrat de notre sport »

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Bandama 2018 : « Le côté ingrat de notre sport »

25 February 2018 0

Il était attendu pour une cinquième victoire historique. Un record que Soumahoro Moriféré n’a pas pu atteindre. La faute à un caprice de sa Mitsubishi Evo10. Un crève-cœur pour le compétiteur qui a accepté d’expliquer les conditions de son abandon.

« On était bien. Surtout que sur le bas-côté nous avons vu Peterhansel. Mais à la fin, c’est nous qui avons fini sur le bas-côté », a-t-il indiqué presque désolé pour ses fans. Pourtant, il ne devrait pas s’en vouloir. Le mal n’était pas au niveau de son savoir-faire au volant. Plutôt sous le capot de sa Evo10. En scelle pour mener la vie dure à Gary Chaynes, Stéphane Peterhansel et tous les autres concurrents, Mori casse à 10 kilomètres de l’arrivée de la dernière étape. N’Guessankro, un mauvais souvenir pour lui et Philippe Garcia.

« C’est cela le côté ingrat de notre sport. Tu peux avoir la meilleure préparation. Mais quand il se trouve des problèmes mécaniques, on n’y peut rien », a confié Soumahoro Moriféré qui avait profité de la casse de Gary Chaynes en 2017 pour s’adjuger le 43è Bandama. Cette fois, le vent a tourné. Dans le mauvais sens. Malheureusement pour lui.

Un épilogue qui ne constitue pas le clap de fin pour Moriféré. Même s’il y pense à 51 ans. « Je pense à arrêter. C’est une idée qui me traverse l’esprit à chaque fois. Mais je roule encore. J’ai mes enfants sur le circuit que j’essaie de confier à des amis pour qu’ils soient bien formés. C’est une fierté pour moi de les croiser sur les circuits. J’espère faire durer le plaisir », a conclu Soumahoro Moriféré qui scrute toujours une cinquième étoile au Bandama.

Patrick GUITEY à Yamoussoukro

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